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Centaure 2.0 

Du concept mythologique éthéré au Centaure réactualisé et appliqué

Le Centaure, figure mythologique mi-humain mi-cheval, représente un idéal, un objectif pour nombre de cavaliers dans leur pratique équestre.

Il symbolise l’unicité d’un corps, d’un esprit se mouvant en parfaite harmonie.

Ce Concept (dans sa définition : « représentation mentale abstraite d’une idée conçue par l’esprit ») est à l’origine de diverses recherches dans le domaine de l’ostéopathie, dont la Théorie du Centaure de Patrick CHENE en 2004.

Suivi par d’autres consœurs, Marion CAILLOUX et Emilie FAUVEL sur le patient cavalier.

Le Centaure quitte l’incorporel propre à un concept, et montre des similitudes, résonances, compensations visibles et quantifiables dans l’interaction cavalier-monture.

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Les 1ères consultations et conférences sur la « séance Centaure » (consultation ostéopathique du cheval et de son cavalier lors d’une même séance) portaient sur les interférences mécaniques nuisant à la bonne collaboration du duo : traitement ostéopathique visant à lever les dysfonctions à l’origine de schémas de compensation/décompensation, influence de l’harnachement, appréciations des changements perceptibles en fin de séance…

C’était une bonne entrée en matière, utile pour observer et quantifier les résultats nécessaires dans toute phase de recherche expérimentale.

Néanmoins des séances à visée thérapeutique ne peuvent se limiter à un protocole.

Exit le pantin mécanique, place au vivant !

Corps, émotions, pensées, chacun des 2 protagonistes se retrouvant lors du Centaure en est doté, et les différences de fonctionnement entre 2 espèces distinctes ne facilitent pas toujours le dialogue !

C’est par le Senti (qualité d’écoute du praticien permettant au « médecin interne » du patient, -bien connu des ostéopathes depuis Still son fondateur - d’agir pour retrouver son état de santé) qu’il est possible de définir puis traiter la part physique, émotionnelle ou mentale en déséquilibre, impactant l’harmonie centaurienne.

Douleurs physiques, traumatismes/accidents, idées préconçues, vieilles querelles non-réglées,…

Elles sont nombreuses et variées, les interférences entre le cavalier et sa monture !

Elles ne nuisent pas seulement à la fluidité d’un mouvement, d’un exercice monté, mais peuvent ternir le lien relationnel de manière générale (« on ne se comprend plus ; quelque chose cloche mais je ne sais pas dire quoi ; … »).

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Le Centaure concernait initialement le lien homme-cheval, je découvre alors qu’il implique plus largement la relation homme-animal.

Tout lien avec un animal dont nous sommes affectivement proches et réciproquement (communément appelés animaux de compagnie) peut donner lieu à des transferts, tel que le décrit Olivier Grandrie dès 2005 dans son livre « L’animal miroir de l’homme ».

Dans ma pratique, de plus en plus de consultations nécessitent effectivement une prise en charge de ces transferts afin d’améliorer l’état de l’animal de manière notable et durable, notamment dans le cas des Noeuds Emotionnels

C’est grâce à ces diverses découvertes dans nos échanges avec les animaux que se fonde ma pratique thérapeutique actuelle, dans une version plus contemporaine et pragmatique du Centaure.

Je propose :

 les Cavateliers, pour développer les perceptions psycho-corporelles du cavalier,

les Journées Ostéopratik pour s’initier et acquérir des connaissances en terme de bien-être animal,

et les Séjours Centaure, 5 jours consacrés au couple homme-cheval pour se retrouver entre passionnés.

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Extrait Vidéo :  Présentation des Consultations Duos et notion de Centaure 2.0

 Atelier/conférence sur le thème de la relation homme-animal lors des portes-ouvertes du cabinet "Centre de l'être", à la Motte-Servolex (Savoie).

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